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Cornwall : des atouts pour devenir communauté francophone accueillante en Ontario |ONFR+|

Prenez note que cet article ne fait plus l’objet de mise à jour et pourrait contenir des informations désuètes.

ONFR+ – Lila-Mouch Essers, publié le 6 février 2024

CORNWALL – Début janvier, le gouvernement fédéral a dévoilé son intention d’intégrer 10 nouvelles municipalités au programme des communautés francophones accueillantes. Bien que la sélection ne soit pas encore finalisée, Cornwall se profile comme une candidate idéale, notamment grâce à l’ACFO de Sturmont-Dundas et Glengarry, son conseiller municipal francophone, ainsi que divers organismes et partenaires y offrant une gamme de services en français.

Cornwall pourrait-elle faire partie des futures municipalités du programme des communautés francophones accueillantes? Sur la photo : L’équipe de l’ACFO-SDG, le maire de Cornwall Justin Towndale et la sénatrice Bernadette Clément. Gracieuseté

Près de la moitié de la population de Cornwall est bilingue et compte près de 10 000 personnes ayant le français comme langue maternelle, selon le dernier recensement de Statistique Canada. Ces dernières années, cette communauté a fait preuve d’initiatives pour réaffirmer son hospitalité envers les immigrants francophones. C’est d’ailleurs ce que Sonia Behilil, directrice des opérations de l’ACFO-SDG, décrit quand elle détaille les projets phares de son organisme.

« La réalité, c’est que depuis que le projet des communautés accueillantes existe, c’est déjà une réalité pour Cornwall », affirme-t-elle.

Pour l’instant, l’ACFO-SDG attend qu’un appel d’offres soit promulgué par le gouvernement afin de postuler au programme selon des critères prochainement déterminés. Mais pour l’heure, il semble que l’organisme ne soit pas du genre à se reposer sur ses lauriers.

« Cornwall veut être impliquée et veut démontrer sa caractéristique accueillante du côté francophone, mais pas seulement, puisque que même les acteurs hors parcours francophones sont impliqués dans ce contexte d’accueil. »

Faire partie officiellement du programme des communautés accueillantes sera définitivement un tremplin, croit-elle. D’après la jeune femme, depuis 2017, l’organisme travaille dans ce sens.

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