Aller au contenu

L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne devient membre de la FCFA |FRANCITÉ|

Prenez note que cet article ne fait plus l’objet de mise à jour et pourrait contenir des informations désuètes.

FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 29 mai 2024

L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC) devient la 22e organisation membre de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada.

Pexels.com

Selon un communiqué publié aujourd’hui par la FCFA, l’adhésion de l’ACUFC a été formellement ratifiée plus tôt ce mois-ci par son conseil d’administration.

Cette adhésion se veut une suite logique d’une collaboration déjà étroite entre les deux organismes. En effet, l’ACUFC et la FCFA étaient partenaires dans l’organisation des États généraux sur le postsecondaire en contexte francophone minoritaire, en 2021 et 2022.

De plus, l’ACUFC siège également à la Table nationale en immigration francophone (TNIF) coordonnée par la FCFA et au Forum des leaders de la FCFA depuis plusieurs années.

« C’est l’aboutissement logique d’une complicité de longue date. La FCFA et l’ACUFC travaillent ensemble non seulement sur la consolidation du postsecondaire en français, mais aussi sur les questions d’immigration francophone et de rapprochement avec le Québec. L’arrivée de l’Association à la table, de façon formelle, est d’une immense valeur pour le travail de la FCFA et l’avancement de la francophonie », souligne la présidente de la Fédération, Liane Roy.

« L’adhésion de l’ACUFC à la FCFA envoie un message fort à l’effet que l’Association s’engage à renforcer ses collaborations avec ses partenaires en vue d’amplifier la contribution du secteur postsecondaire à l’épanouissement des communautés francophones en situation minoritaire », avance Martin Normand, président-directeur général par intérim de l’ACUFC.

« Cette présence formelle à la table de la FCFA devient incontournable dans un contexte où la Loi sur les langues officielles rend explicite pour la première fois le rôle du gouvernement fédéral dans l’appui à l’éducation postsecondaire en contexte linguistique minoritaire. », conclut-il.