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Le Franco-Ontarien Michael Woods aborde le tour de France avec ambition |ONFR+|

Prenez note que cet article ne fait plus l’objet de mise à jour et pourrait contenir des informations désuètes.

ONFR+ – Mickael Laviolle, publié le 29 juin 2023

Le coureur franco-ontarien Michael Woods est la tête d’affiche de l’équipe Israel – Premier Tech qui ambitionne de jouer les premiers rôles sur la Grande Boucle cette année.

Woods va disputer son quatrième Tour de France avec Premier Tech. Crédit : Sprint Cycling Agency

Le Tour de France, l’épreuve de cyclisme la plus attendue de l’année, démarre ce samedi 1er juillet depuis Bilbao au Pays basque espagnol. Pour Michael Woods, récent vainqueur de la Route d’Occitanie, la Grande Boucle représente toujours un moment particulier même s’il est désormais un habitué de l’épreuve.

« C’est mon quatrième Tour de France, c’est toujours spécial pour moi de le faire. Quand j’ai commencé à faire du vélo, je n’étais pas certain que j’arriverais à ce niveau et à faire le Tour, donc maintenant, j’arrive à une quatrième participation, c’est génial. »

En termes de niveau, le cycliste originaire d’Ottawa est en grande forme après sa victoire dans le Sud Ouest de la France. Il espère pouvoir tirer profit de sa connaissance de la région dès la première semaine qui se déroule au Pays basque puis dans les Pyrénées, une zone géographique où il a brillé et où il habite (Andorre).

« Mon ambition pour cette année, c’est une victoire d’étape. C’est mon plus gros objectif. Je pense que c’est faisable, surtout après avoir terminé troisième et avoir permis une victoire d’étape à Hugo Houle l’année dernière », a-t-il confié.

Michael Wood s’est exprimé devant les médias ce jeudi. Capture d’écran ONFR+

« Le plus gros défi seront les deux trois premières étapes avec le stress, les dangers, les chutes, c’est toujours le cas sur le Tour de France. Je n’ai jamais terminé un Tour sans chuter et je crois que ces chutes ont été à chaque fois les raisons qui m’ont empêché de gagner des étapes ou qui ont fait que je n’ai pas bien couru. Le défi est vraiment de ne pas chuter. »

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