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RADIO-CANADA – Publié le 24 janvier 2024

À La Broquerie, Jules Balcaen, Denis Carrière, Steve Hildebrand et Patrick Tétrault ont été intronisés au Temple de la renommée du hockey local en raison de leur engagement pour ce sport dans la communauté. « Il y a beaucoup de volontaires à La Broquerie, juste être nommé comme ça, c’est un honneur », réagit Patrick Tétrault.

Le logo des Habs est omniprésent à La Broquerie, que ce soit à l’entrée du village, au bar de l’hôtel ou encore sur les jeux d’eau.PHOTO : Radio-Canada / Simon Deschamps

Tout en exprimant sa joie, M. Tétrault souligne qu’il a investi beaucoup de temps dans le hockey, et ce, pendant plusieurs années. Il a notamment été président du Club sportif de La Broquerie de 2004 à 2014.

« Le hockey joue un gros rôle dans notre communauté […] C’est juste quelque chose que nos grands-parents ont commencé. »

— Une citation de  Patrick Tétrault, entraîneur de l’équipe féminine U18 de La Broquerie

Entraîneur de l’équipe féminine U18 de La Broquerie et représentant de hockey féminin pour la municipalité, M. Tétrault indique que la ville a été une pionnière au développement du hockey dans les communautés. « Le hockey pour les filles, c’était quelque chose un peu tabou, ce n’était pas vraiment disponible pour les filles. »

En tant que père de trois filles, il voulait leur donner une occasion qu’elles ne pouvaient pas avoir auparavant. Je suis fier de ce qu’on a fait. On n’a pas fini encore, je n’ai pas fait ça seul, avoue-t-il.

La communauté n’a pas fini de célébrer, car pour marquer le 75e anniversaire du club de hockey, les Habs de La Broquerie se mesureront aux anciens du Canadien de Montréal samedi. Patrick Tétrault jouera pour l’honneur de sa communauté.

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ONFR+ – Pascal Vachon, publié le 24 janvier 2024

Prioriser la venue de travailleurs francophones, augmenter la présence canadienne en Afrique et faciliter l’accès à la résidence temporaire pour les étudiants internationaux sont quelques-unes des mesures que contient la nouvelle politique en immigration francophone dévoilée par Ottawa pour doubler son nombre d’immigrants francophones hors Québec d’ici 2028.

Ces mesures ont pour but d’attirer et intégrer des immigrants francophones à l’extérieur du Québec. Archives ONFR

Une politique en immigration francophone, c’est la stratégie du gouvernement fédéral pour attirer et intégrer des immigrants francophones à l’extérieur du Québec, comme en Ontario et au Nouveau-Brunswick. Son but est de rétablir le poids démographique des francophones hors Québec à 6,1 %, comme c’était le cas en 1971, et qui est à 3,3 % aujourd’hui, selon les plus récentes données du recensement de 2021.

« L’idée derrière la politique est de s’assurer que le fédéral fasse son travail », affirme d’emblée en entrevue Marc Miller, le ministre de l’Immigration. Ottawa n’a atteint qu’à une seule reprise, depuis 20 ans, son objectif d’immigration francophone de 4,4 %, soit en 2022.

Des cibles annuelles d’immigrants francophones

La politique oblige le département de l’immigration à se doter d’une cible de nouveaux arrivants francophones hors Québec et à revoir celle-ci, année après année. Pour 2024, le gouvernement fédéral a établi une cible de 6 % qui augmentera à 7 % et 8 %, les deux années suivantes, mais Marc Miller a indiqué qu’il pourrait revoir celles-ci à la hausse, à la fin de 2024.

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RADIO-CANADA – Jimmy Chabot, publié le 20 janvier 2024

Ginette Rozon rêvait d’avoir 12 enfants, mais la vie ne lui en a donné qu’un seul. Depuis 2013, sa maison est un foyer d’accueil d’urgence pour des adolescents autochtones. Son fils, sa belle-fille et ses trois petits-enfants demeurent aussi avec elle à Timmins.

Chaque soir, Ginette Rozon prépare un repas pour nourrir sa douzaine de pensionnaires.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

La douzaine d’enfants qu’elle souhaitait, la Franco-Ontarienne a trouvé le moyen de l’avoir en ouvrant sa porte à des étrangers, après avoir découvert ses racines autochtones.

C’est là que je me suis décidée à ouvrir un foyer pour eux, ceux qui sont en pension qui viennent [de la côte de la baie James], raconte Mme Rozon, dont les origines paternelles sont mi’kmaw.

J’ai ouvert pour eux, puis j’ai aussi ouvert mon foyer [au service de l’aide à l’enfance et de la famille] Kunuwanimano, ajoute la grand-mère de trois adolescents.

Ginette a sur un mur les visages de ceux et celles qui sont passés sous son toit au fil des années. Pour des raisons de confidentialité, les visages des adolescents ont été volontairement floutés.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

Son fils lui a présenté sa première occasion d’aider des jeunes de Premières Nations en situation d’urgence, alors que le frère et la sœur de sa femme Renée, alors adolescents, étaient pris dans le système de l’aide à l’enfance.

À la place, ma mère les a rentrés chez eux et comme ça on était capables de tous être ensemble. Ma femme avait l’opportunité d’avoir sa famille proche, raconte Brad Beauvais.

Ginette montre l’une de ses plus grandes passions, le tambour autochtone, à son petit-fils Zach.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

La mère de Renée, Diane Matthews, est grandement reconnaissante de l’aide apportée par Ginette. Deux de ses trois enfants vivent toujours sous son toit.

J’avais le choix de venir les voir n’importe quand, à la place que je fasse des rendez-vous s’ils étaient dans le système, précise-t-elle.

Ginette a ensuite eu la piqûre et a pris encore plus de pensionnaires. Entre 2013 et 2020, il pouvait être jusqu’à quatre sous son toit en même temps.

Pause forcée et maison multigénérationnelle

En mars 2020, Ginette a fermé son foyer d’accueil, car la plupart des pensionnaires sont rentrés à la maison pendant la pandémie.

Brad, sa conjointe et leurs trois enfants en ont profité pour s’installer au deuxième étage de la grande maison.

On est tous ensemble dans la même place, si on a besoin de l’aide. Ma mère est toujours là pour nous aider, témoigne le fils de Ginette.

Brad Beauvais joue aux cartes avec deux de ses enfants.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

La maison compte six chambres à coucher et cinq salles d’eau. Un lit d’urgence, entouré de paravent, se trouve dans la salle à manger.

Il y a un mois, le téléphone de Ginette a sonné pour savoir si elle était prête à prendre sous son aile un jeune cri de Peawanuck, dont nous devons taire l’identité pour le protéger.

Lui, il est avec nous autres aussi, lance Brad. C’est le fun, c’est un bon jeune. Il a une bonne place et il est [en lieu sûr].

Éviter les traumatismes

Ginette Rozon ne se cache pas qu’elle est aujourd’hui un foyer d’accueil pour éviter que des enfants vivent le sort réservé à ses oncles et tantes il y a longtemps.

Gérald, le père de Ginette, a été marqué au fer rouge quand sa mère a dû laisser partir ses 10 frères et sœurs après avoir développé de sérieux problèmes de santé.

Ils ont été éparpillés partout ici et là. Le plus dur, c’est quand on a amené une de mes petites sœurs [âgée de 2 ans] à la Sainte-Famille. Elle m’a pogné par les jambes puis elle pleurait et elle ne me lâchait pas, puis j’ai vécu avec ça, confie Gérald Rozon, encore à fleur de peau.

Gérald Rozon, tout sourire, en regardant sa fille et ses arrière-petits-enfants préparer le repas.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

Trois autres membres de sa famille ont été placés dans un sanatorium spécialisé dans les soins psychiatriques.

Les récits de son père ont inspiré Ginette à aider n’importe qui qu’elle voit sur la rue.

Moi, je l’appelle The Good Samaritan. Un jour, je vais prendre l’enseigne de [l’institution] puis je vais la mettre après l’arbre, blague Gérald.

Chaque dimanche, ils sont quatre générations à jouer aux cartes dans la maison de familiale.
PHOTO : RADIO-CANADA / JIMMY CHABOT

Ginette caresse le rêve d’accueillir son père et sa mère sous son toit.

C’est toujours ça le but, eux autres, c’est sûr qu’ils aiment vivre dans leur maison. Ils sont encore indépendants, mais au lieu d’être placés dans un foyer, j’aimerais qu’il puisse venir vivre ici, conclut Ginette Rozon.

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RADIO-CANADA – Audrey Simon, publié le 20 janvier 2024

Le conseil d’administration du Conseil scolaire francophone (CSF) de la Colombie-Britannique réuni samedi a voté à l’unanimité pour l’ouverture d’un programme francophone à Creston, une ville située dans le sud-est de la province.

Une école francophone devrait voir le jour en 2025, à Creston, dans le sud-est de la province. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / JULIE LANDRY

Un regroupement de parents francophones et francophiles de Creston et de la région de Kootenay est à l’origine de la demande. Il réclamait l’ouverture d’un programme francophone, une demande désormais approuvée par le C. A. du CSF.

Une version précédente de cet article mentionnait que le regroupement de parents réclamait un programme francophone de la maternelle à la troisième année, comme indiqué dans le document original. Durant la séance, la présidente du conseil d’administration du CSF, Marie-Pierre Lavoie, a indiqué que les parents réclament plutôt un programme scolaire complet, c’est-à-dire jusqu’à la 12e année, NDLR.

Le conseil d’administration a reçu la demande avec enthousiasme. On a reçu la demande en bonne et due forme. Elle est excellente, la demande, elle est super bien faite. Merci à la communauté de Creston, assure la conseillère pour la région du Nord, Marie-Christine Claveau.

Même son de cloche de la part de Chantal Fadous, conseillère de la région de la vallée du Fraser : Le rapport qu’on a reçu de la communauté montre à quel point il y a [un réel] engagement [car] c’est détaillé. C’est vraiment, vraiment impressionnant.

Malgré quelques objections rapidement résolues, notamment en raison des frais, car l’ouverture d’un programme n’est pas couverte la première année par la province, les membres du conseil d’administration du CSF ont voté à l’unanimité pour l’ouverture d’une école francophone à Creston en 2025.

Si toutes les conditions sont respectées, souligne Marie-Pierre Lavoie, présidente du conseil d’administration du CSF. Parmi ces conditions, la réalisation d’une étude de faisabilité.

Le conseil d’administration du CSF a approuvé la demande de parents francophones et francophiles de Creston, mais le C. A. doit encore produire un rapport de faisabilité. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / OCÉANE DOUCET

Prochaine étape : un rapport de faisabilité

La directrice générale du CSF, Pascale Bernier, s’est engagée à proposer à la province de régler les frais.

Ça passe à l’unanimité, alors Creston, préparez-vous! L’administration, vous allez nous préparer, j’en suis certaine, un beau plan de faisabilité. Et puis on a hâte de célébrer l’ouverture de cette école en 2025, si toutes les conditions ici sont respectées.

Une citation deMarie-Pierre Lavoie, présidente du conseil d’administration du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique

Les conseillers ont également pu prendre en compte la mise à jour budgétaire (Nouvelle fenêtre) au 31 décembre 2023. Le CSF souffre toujours d’un déficit de près de 176 700 dollars, selon le précédent directeur général par intérim de l’organisation, Bertrand Dupain.

Rectificatif :

Une version précédente attribuait le titre de directeur général par intérim du CSF à Bertrand Dupain, mais cette affectation s’est terminée à la fin décembre 2023. Il est maintenant de retour dans son poste de directeur de l’École Victor-Brodeur, à Victoria.

L’un des dossiers qui retiennent l’attention de Bertrand Dupain est la question du transport scolaire. En vue de discussions pour l’améliorer, la date du 29 février a été fixée avec le sous-ministre adjoint au ministère de l’Éducation et des Services de garde d’enfants, Chris Brown.

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RADIO-CANADA – Raphaële Frigon, publié le 22 janvier 2024

Le groupe d’inspiration traditionnelle La Raquette à claquettes, de Regina, lance son premier album en 15 ans, Peser record. Ses 10 pistes marquent le retour en studio de Dave Lawlor, Francis Marchildon, Gilles Groleau, Michel Lalonde et Michel « Miche » Chammartin.

L’album «Peser record» a été largement autoproduit par les membres de La Raquette à claquettes dans leur studio-maison.
PHOTO : RAPHAËLE FRIGON

Les cinq membres du groupe, des amis qui jouent ensemble depuis plus de 25 ans, ont travaillé sur cet album pendant la pandémie. Ils ont enregistré individuellement dans leurs studios personnels avant de se réunir, soit un processus de quatre ans, selon Dave Lawlor.

Une période de gestation qui a permis au groupe de se renouveler. On est retourné dans une période de création, on est tous auteurs, compositeurs, musiciens, ça fait que tu sais y’a toujours des idées qui se tournent dans chacune de nos têtes, raconte-t-il.

Il y a des choses qui vont peut être surprendre les gens qui connaissent déjà la Raquette

Une citation de Dave Lawlor, membre de la La Raquette à Raquette

Leur période de création a permis au groupe de se renouveler, avec chaque membre contribuant à la composition et à la musique, selon Dave Lawlor. Il ajoute l’album pourrait étonner les adeptes du groupe avec son évolution vers la musique bluegrass.

Il indique qu’une fois en studio, ils ont expérimenté avec des instruments différents.

Je ne jouerai jamais de la Dobro [guitare à résonateur, NDLR] sur scène avec la Raquette, mais sur l’album on s’est permis d’ajouter de quoi et d’étoffer un peu les arrangements. Même si on ne peut pas toujours les rendre exactement comme l’album, c’est peut-être dans cette direction qu’on va continuer à aller, confie Dave Lawlor.

Peser Record est disponible sur les plateformes de diffusion en ligne. Un vidéoclip pour la chanson Le train est d’ailleurs disponible sur les réseaux sociaux.

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ONFR+ – Pascal Vachon, publié le 23 janvier 2024

OTTAWA – Face à la décision du gouvernement fédéral de plafonner le nombre d’étudiants internationaux, des établissements francophones surveillent désormais les prochaines décisions qui seront prises par le gouvernement Ford, certains craignant des effets substantiels.

Montage ONFR+

« L’impact du plafond sur les visas risque d’être majeur », a réagi l’Université d’Ottawa dans une déclaration écrite, suite à l’annonce fédérale hier de limiter le nombre de nouveaux étudiants étrangers au pays à 360 000 pour la rentrée prochaine.

Ottawa liera le nombre de permis à la population de chaque province et territoire. Cette mesure signifierait deux fois moins d’étudiants en provenance de l’étranger en Ontario.

Immigration Canada n’a pas divulgué exactement comment il comptait départager les demandes de permis d’études par province et territoire. Toutefois, Marc Miller a indiqué hier que cela serait basé sur le poids démographique des provinces et territoires respectifs au sein du Canada.

Basé sur cette affirmation, il va donc dire que les établissements ontariens pourraient accueillir aux alentours de 140 000 nouveaux étudiants étrangers en 2024, contre 300 000 nouveaux permis d’études octroyés en 2023. Il s’agira ensuite aux différentes provinces et territoires de redistribuer les permis d’études au sein de leurs établissements postsecondaires.

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 22 janvier 2024

Des bourses allant jusqu’à 8000$ seront octroyées à quatre professionnels de la recherche pour participer au 91e Congrès de ACFAS, le plus grand rassemblement scientifique multidisciplinaire de la francophonie.

Depuis près d’un siècle, l’Acfas fait rayonner les savoirs comme moteur de développement de nos sociétés en rassemblant les actrices et acteurs de la recherche au sein de la francophonie – Gracieuseté

Le Centre de la francophonie des Amériques (CFA) s’associe au 91e Congrès de l’Acfas pour appuyer les chercheurs issus des communautés francophones minoritaires du Canada et des Amériques.

Organisé du 13 au 17 mai 2024 en collaboration avec l’Université d’Ottawa, le 91 Congrès de l’Acfas aura pour thème « Mobiliser les savoirs en français ».

Fait important à noter, le congrès annuel de l’Acfas est le plus grand rassemblement scientifique multidisciplinaire de la francophonie. Il réunit en moyenne 6 000 participants en provenance du Québec, du Canada et de l’international.

Le Centre de la francophonie des Amériques, organisme du gouvernement du Québec, est situé au cœur du Vieux-Québec, berceau de l’Amérique francophone – Gracieuseté

« Le Centre est heureux d’offrir des bourses jusqu’à 8 000 $ CA pour soutenir quatre professionnelles ou professionnels de la recherche, vivant dans les Amériques, à l’extérieur du Québec, et ayant une communication acceptée au Congrès de l’Acfas », annonce le CFA sur son site web.

En fait, les bourses couvriront les frais d’inscription au Congrès et de mobilité. À travers ce financement, l’objectif du Centre est d’appuyer le développement de la recherche en français dans les Amériques en facilitant la mobilité, la transmission d’expertises et la coopération entre les intervenantes et intervenants francophones et francophiles sur notre territoire.

Cliquez-ici pour en savoir plus sur le dépôt des candidatures pour la bourse et la proposition d’une communication au Congrès

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RADIO-CANADA – Publié le 21 janvier 2024

Le duo Beau Nectar, formé de la Fransaskoise éemi et de la Franco-Ontarienne Marie-Clo, a remporté le Prix Alliance à la 43e édition de Contact ontarois, le marché du spectacle de l’Ontario français, qui s’est déroulé à Ottawa du 17 au 20 janvier.

Le duo Beau Nectar a offert une performance samedi.
PHOTO : CATHERINE ARCHAMBAULT

Le Prix Alliance permettra au duo de présenter un extrait de son spectacle, distingué lors du Contact ontarois, à la Rencontre d’automne 2024 du Réseau des Organisateurs de Spectacles de l’Est-du-Québec (ROSEQ).

Au total, les artistes de l’industrie culturelle franco-canadienne ont été récompensés dans neuf catégories lors du gala de clôture de l’événement samedi.

L’industrie artistique canadienne et la communauté franco-ontarienne ont pu voir les performances de 41 artistes dans la programmation 2024, souligne un communiqué de l’organisation.

Par ailleurs, Contact ontarois 2024 a attiré environ 1100 participants, précise le communiqué.

Le duo Beau Nectar a été créé il y a environ un an. Les deux artistes séparées par la distance ont appris à travailler ensemble pour faire rayonner leur créativité.

éemi et Mari-Clo étaient nommées dans neuf catégories lors du Gala Trille Or 2023 au mois de septembre avant de remporter le prix de l’album pop de l’année.

Le duo a entamé récemment plusieurs projets dont une tournée à travers tout le Canada.

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RADIO-CANADA

La Chasse à l’as du Club VTT Chaleur de Petit-Rocher, qui bat son plein depuis 48 semaines, atteindra des niveaux inégalés mardi soir alors que le gros lot dépassera les 8 millions $.

La Chasse à l’as du Club VTT Chaleur de Petit-Rocher continue de battre des records.
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Cette loterie évolutive permet à plusieurs organismes à but non lucratif de la région du nord du Nouveau-Brunswick d’amasser des sommes impressionnantes.

Les deux partenaires, soit le Club VTT Chaleur et l’organisme de bienfaisance Amis de la santé, en sont les principaux bénéficiaires.

Ça nous aurait pris 10, 15, 20 ans pour se rendre où nous sommes aujourd’hui.

Une citation deFrédéric Mallet-Boudreau, président du Club VTT Chaleur
Frédéric Mallet-Boudreau est président du Club VTT Chaleur
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Le président du Club VTT Chaleur confirme que son organisation a fait des pas de géants depuis environ 5 ans, principalement grâce aux Chasse à l’as tenues ces dernières années.

Avec 1865 membres en 2023, ce club est le plus gros des provinces de l’Atlantique. Il gère et entretient 300 kilomètres de sentiers d’un bout à l’autre de la région Chaleur.

Ça nous a permis de faire beaucoup de nouveaux sentiers, de créer de nouveaux développements, de faire de nouvelles connexions avec d’autres clubs, précise Frédéric Mallet-Boudreau.

Un des nombreux ponts construits grâce à la Chasse à l’as sur les sentiers du Club VTT Chaleur
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Les profits amassés ont été investis dans l’achat de plusieurs pièces d’équipement servant à l’entretien des sentiers, notamment, deux tracteurs et un camion. L’organisme s’est même construit un garage à trois portes pour réparer et entreposer ses équipements.

Et c’est sans parler de la dizaine de ponts construits pour améliorer et étendre le réseau de sentiers pour véhicules tout-terrains de la région.

La santé en profite

Dans le domaine de la santé, le principal bénéficiaire des fonds amassés par les Amis de la santé, c’est la Fondation de l’Hôpital régional Chaleur de Bathurst.

Il y a eu un gros impact au niveau des soins de santé.

Une citation de Jean-Guy Robichaud, président de la Fondation de l’Hôpital régional Chaleur
Jean-Guy Robichaud, président de la Fondation de l’Hôpital régional Chaleur
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Lors d’une récente campagne de financement visant à amasser 5 millions de dollars pour des améliorations à l’Hôpital régional Chaleur, la Fondation a reçu un don d’un million provenant des profits de la loterie.

Jean-Guy Robichaud dit attendre la fin de la présente Chasse à l’as pour s’asseoir avec le président des Amis de la santé, René Beaudet, pour discuter de leurs besoins financiers à venir.

Et il n’a aucun doute qu’il recevra encore une fois une oreille attentive. Les Amis de la santé ont toujours été très généreux avec leurs fonds, ajoute le président de la Fondation.

Les aînés en bénéficient aussi

L’actuelle Chasse à l’as de cœur est la huitième du genre organisée dans la région.

En plus de se diviser la majeure partie des profits, les deux partenaires ont choisi quatre autres organismes pour recevoir un pourcentage du pactole. Il s’agit des clubs de l’âge d’or de Petit-Rocher, de Robertville et de Beresford, ainsi que le Club de motoneige Chaleur.

La Salle Blanche de Petit-Rocher loge les activités du Club de l’âge d’or
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Selon la présidente du Club de l’âge d’or de Petit-Rocher, Rita Doucet, l’argent que recevra son organisation permettra d’acheter la Salle Blanche, le lieu où se tient le tirage hebdomadaire de loterie ainsi que les activités du Club de l’âge d’or.

Il ne reste qu’à finaliser l’achat auprès du propriétaire actuel, le diocèse de Bathurst.

C’est un gros montant qui est demandé. Ça va nous aider à payer. Nous sommes contents, déclare Rita Doucet.

Rita Doucet est présidente du Club de l’âge d’or de Petit-Rocher, N.-B.
PHOTO : RADIO-CANADA / SERGE BOUCHARD

Avec un gros lot dépassant 8 millions de dollars mardi, c’est une somme à peu près équivalente qui se retrouvera dans les coffres d’une demi-douzaine d’organismes de la région.

Un montant qui pourrait augmenter si l’As de cœur continue de jouer à la cachette.

Le tirage de mardi soir sera diffusé en direct peu après 21 h sur la page Facebook du Club VTT Chaleur .

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ONFR+ – Sandra Padovani, publié le 13 janvier 2024 et mis à jour le 20 janvier 2024

[LA RENCONTRE D’ONFR]
TORONTO – Directrice générale des Centres d’Accueil Héritage (CAH), logements pour les aînés francophones de Toronto, cette Anglo-Italienne francophone se dédie à leur bien-être au sein de cette communauté soudée, unique en son genre. Infirmière de profession, elle a exercé au Rwanda, en Angola, Ouganda, République du Congo, ou encore au Kazakhstan, animée par la passion d’aider ceux qui vivent dans les conditions les plus difficiles. Une carrière internationale riche qui a forgé sa vision holistique autour des besoins des individus.

Barbara Ceccarelli devient directrice générale des CAH en 2017, après cinq ans en tant qu’adjointe à la direction. Gracieuseté

«  En quoi cette double nationalité et ce bilinguisme ont-ils façonné votre façon de voir le monde dès le plus jeune âge?

Vivre dans une famille bilingue avec deux cultures différentes, ça m’a ouvert l’esprit très jeune. J’ai grandi en Italie et quand j’allais visiter ma famille en Angleterre c’était comme passer d’une planète à une autre. C’était un émerveillement en tant qu’enfant de voir que les choses pouvaient être faites de façon si différente d’un endroit à l’autre.

Vous avez travaillé une quinzaine d’années avec Médecins sans frontières en tant qu’infirmière. Parlez-nous de votre parcours à l’étranger

Après mes études, je suis partie travailler en 1996 au Rwanda dans un petit hôpital avec une petite ONG. L’image que j’avais de la santé et la médecine, exercée différemment, a changé. Un moment charnière qui m’a confirmé que c’était ma passion. J’ai ensuite travaillé en Angola dans un hôpital et dans un centre pour enfants malnutris.

S’en est suivie une expérience au Kazakhstan où je me suis occupée d’un projet mettant en place des recommandations contre la tuberculose. En Ouganda, j’ai ensuite géré un projet d’envergure qui s’attelait à différentes maladies dont le paludisme, le VIH, des maladies orphelines, etc. Il y avait toute la problématique d’accès aux médicaments, d’où un plaidoyer auprès des autorités pour que certaines communautés y aient accès.

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RADIO-CANADA – Raphaële Frigon, publié le 19 janvier 2024

Les organismes fransaskois attendent avec impatience qu’un nouveau « Protocole d’entente relatif à l’enseignement dans la langue de la minorité et à l’enseignement de la langue seconde » soit signé entre le fédéral et la province. Selon l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), l’attention est particulièrement concentrée sur les fonds liés à cette entente.

Le président de l’ACF, Denis Simard, indique même que certains envisagent des licenciements si les sommes n’arrivent pas bientôt.

Les organismes fransaskois, c’est clair que leur situation est plus difficile. Ils fonctionnent dans des marges de financement, déclare Denis Simard.

Il y en a même qui considèrent peut-être regarder à devoir mettre à pied des employés, si jamais le financement n’arrive pas très bientôt, ajoute-t-il.

Le Protocole d’entente relatif à l’enseignement dans la langue de la minorité et à l’enseignement de la langue seconde existe depuis 1983. Il permet des transferts financiers entre le gouvernement fédéral et les provinces et territoires pour l’enseignement des langues officielles en situation minoritaire et l’enseignement de la langue seconde.

Cette entente a octroyé à la Saskatchewan plus de 6,7 millions par année de 2019 à 2023. Environ 40 % de cette somme était destinée à l’enseignement du français en tant que langue minoritaire, et près de 60 %, à l’enseignement de l’anglais comme langue seconde.

La dernière entente est venue à échéance en 2023. Elle est habituellement renégociée tous les trois à cinq ans par l’entremise du Conseil des ministres de l’Éducation.

Selon l’ACF, l’entente devait initialement être signée à la fin de 2023 : Originellement, on parlait d’avoir quelque chose cet automne, pas cet hiver.

Néanmoins une entente entre les parties serait proche. On parle possiblement de semaines et, donc, on espère que ça sera très bientôt, indique Denis Simard.

L’attente de la signature d’un nouveau protocole pour l’enseignement des langues officielles cause une inquiétude parmi des organismes fransaskois, selon le président de l’ACF, Denis Simard. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / LESLIE GARRIDO-DIAZ

L’équilibre budgétaire en péril

Le codirecteur général du Conseil culturel fransaskois (CCF), Dany Rousseau, explique que près de 20 % du financement global de son organisme provient de cet accord.

C’est tout un exploit, c’est acrobatique ce que le CCF doit planifier pour rester à flot.

Une citation de Dany Rousseau
Codirecteur général et directeur administratif du CCF, Dany Rousseau assure le financement, le développement organisationnel, les opérations numériques de l’organisme culturel. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / CHANTAL HAMON

Ces contributions permettent notamment au CCF de produire des ateliers et des spectacles scolaires, de publier le magazine éducatif Clin d’œil Jeunes Saskois et de produire le balado pédagogique déCLIC, en plus de couvrir les salaires de deux employés responsables des activités éducatives.

Dany Rousseau confie qu’il doutait que ces fonds soient disponibles à temps cette année, expliquant avoir été obligé d’optimiser les flux de trésorerie pour éviter que l’organisme ne se retrouve à découvert. Il reste moins de trois mois avant la fin de l’année et c’est tout un exploit, c’est acrobatique ce que le CCF doit planifier pour rester à flot.

Nous continuons à être vigilants, mais nous avons bon espoir que les fonds du ministère de l’Éducation rentreront dans les prochaines semaines et que la situation sera rétablie , dit-il sur un ton optimiste.

Néanmoins, il affirme qu’il ne serait pas étonnant que d’autres organismes n’aient pas pu équilibrer leur budget sans les actifs prévus au budget, surtout si leurs projets comptent principalement sur le financement du ministère de l’Éducation et qu’ils ont dû les démarrer au début de l’année scolaire.

Un retard qui a des répercussions

Le directeur général du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), Ronald Ajavon, indique dans une déclaration à Radio-Canada que l’entente fédérale actuelle ne prend pas suffisamment en compte les besoins uniques du CEF.

Il déplore également un retard considérable des fonds fédéraux qui a des répercussions significatives sur les flux de trésorerie de nos institutions.

Dans une déclaration envoyée à Radio-Canada, le ministère du Patrimoine canadien précise que le protocole en question est renégocié en tenant compte des investissements en éducation annoncés dans le Plan d’action pour les langues officielles 2023-2028.

Le ministère du Patrimoine canadien et les représentants du Conseil des ministres de l’Éducation sont pleinement mobilisés pour faire progresser ces négociations le plus rapidement possible , indique le Ministère fédéral.

Un porte-parole du ministère de l’Éducation de la Saskatchewan précise que le gouvernement travaille avec les Fransaskois pour améliorer l’éducation et atteindre les objectifs de diplomation et que des discussions sont en cours avec le gouvernement fédéral en vue d’un nouvel accord.

Bien qu’elle ne siège pas à la table de négociation, l’ACF dit tenter de se faire entendre auprès des parties fédérales et provinciales.

On continue à mettre de la pression avec le Ministère pour pouvoir avoir la signature et en plus même si l’argent du fédéral ne serait pas déclenché, on négocie aussi avec la province pour s’assurer que la province serait prête à avancer de l’argent aux communautés fransaskoises, précise Denis Simard.

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ONFR+ – Pascal Vachon, publié le 19 janvier 2024

OTTAWA – Le gouvernement fédéral serait prêt à instaurer un plafond au nombre d’étudiants internationaux au pays, mais il envisagerait aussi l’option d’offrir des bourses pour attirer davantage de francophones dans les établissements postsecondaires hors Québec.

Le ministre de l’Immigration Marc Miller lors d’une conférence de presse à Ottawa. Crédit image: THE CANADIAN PRESS/Sean Kilpatrick

Selon nos informations, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) considère l’idée d’offrir des bourses ou de l’aide financière à des étudiants dans des programmes de langue française hors Québec. Depuis le début de 2024, le fédéral a rehaussé le plancher monétaire exigé aux futurs étudiants étrangers, à 20 700 $ alors qu’il était de 10 000 $ auparavant.

En entrevue, le ministre de l’Immigration Marc Miller a indiqué que l’idée de bourses nécessiterait une « discussion à avoir pour s’assurer que ça soit bien fait », mentionnant notamment un bon accueil au pays par les institutions francophones.

« Je n’ai rien à annoncer pour l’instant, mais vous êtes sur une bonne piste. On regarde ça », a commenté le ministre Marc Miller lors d’un entretien téléphonique.

Le ministre se dit conscient que les établissements francophones attirent moins d’étudiants internationaux que leurs confrères anglophones et donc qu’il y a « une question d’équité et d’équilibre » à atteindre.

« C’est clair que quand l’on parle de l’Afrique, il y a des questions de capacité financière. Ce n’est pas tout le monde (qui est) dans la haute classe moyenne, où on va piger des gens, en Inde par exemple. Ce bassin n’existe pas forcément en Afrique de l’Ouest où il y a une forte proportion francophone », concède-t-il.

L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC) estime que l’idée de bourses faciliterait le fait d’étudier en français hors Québec, car « dans certains de nos bassins, l’argent n’est pas autant disponible que dans d’autres pays », souligne le directeur de la recherche stratégique à l’ACUFC, Martin Normand.

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RADIO-CANADA – Publié le 17 janvier 2024

Le Festival du Voyageur a dévoilé la programmation de sa 55e édition mercredi. Bleu Jeans Bleu, The Strumbellas et K’naan sont parmi les artistes invités à l’événement, qui a lieu du 16 au 25 février à Winnipeg.

Plus de 150 artistes participeront au festival cette année.
PHOTO : RADIO-CANADA / MATHILDE GAUTIER

Malgré ces grands noms, en entrevue à l’émission Le 6 à 9, la directrice générale du festival, Breanne Lavallée-Heckert, affirme avoir cherché à proposer une plateforme locale pour tous les artistes cette année.

Nous avons fourni des efforts pour mettre l’emphase sur les musiciens et les talents qui existent dans notre communauté, dit-elle. Nous avons préparé une programmation exceptionnelle, pleine de belles surprises et des éléments incontournables qui rendront cette édition vraiment spéciale.

Breanne Lavallée-Heckert indique que des dispositions ont été mises en place pour assurer la sécurité des festivaliers. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / MARIO DE CICCIO

Andrina Turenne, Vieux Farka Touré, Jocelyne Baribeau et Les Babineaux Sisters Band sont parmi les artistes, qui sont plus de 150, qui se présenteront sur scène au Parc du Voyageur, au Centre culturel franco-manitobain ou ailleurs.

La programmation complète est disponible sur le site web du Festival.

Breanne Lavallée-Heckert a été embauchée comme directrice du festival durant la dernière année. C’est ma première année parmi l’équipe du Festival, et l’excitation est palpable , s’exclame-t-elle.

Cette année, des installations d’art autochtones seront placées à divers endroits dans le parc, selon le communiqué. Une toute nouvelle galerie d’arts autochtones mettant en vedette des artistes autochtones locaux offrira un espace de réflexion qui suscitera certainement de bonnes conversations, ajoute le document.

Les sculpteurs travaillent à leur sculpture de neige l’an dernier. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / MATHILDE GAUTIER

Une séance de détente hivernale sera aussi au rendez-vous. Au deuxième dimanche, on aura un cours, une pratique de yoga dans la tente Rivière-Rouge. Ce sera de 10 h à 11 h dans le parc, indique Breanne Lavallée-Heckert.

Les sculptures de neige, le concours de barbe, l’interprétation historique et les jeux d’enfants seront bien sûr de retour.

Le parc du Voyageur aura cependant changé d’apparence. À la suite de l’effondrement d’une passerelle du Fort Gibraltar en mai dernier, qui a fait 18 blessés, les murs du fort ont été démolis et remplacés par une clôture temporaire. Un environnement amusant et sécuritaire attend les festivaliers, assure Mme Lavallée-Heckert.

Avec les informations de Patricia Bitu Tshikudi

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RADIO-CANADA – Publié le 17 janvier 2024

L’artiste Isabelle Mercier a été sélectionnée pour participer à la tournée de quatre spectacles Chant’Ouest 2024, qui aura lieu du 19 au 24 mars.

L’artiste fransaskoise Isabelle Mercier rejoint trois autres artistes du Manitoba, d’Alberta et de Colombie-Britannique pour cette tournée de quatre spectacles. (Photo d’archives)
PHOTO : PETER SCOULAR

Elle rejoint trois autres artistes venant du Manitoba, d’Alberta et de Colombie-Britannique pour cette tournée de quatre spectacles.

Je suis chanceuse, j’ai été sélectionnée pour représenter la Saskatchewan. Je vais être accompagnée de mentorat, on va faire un tour des provinces de l’Ouest. J’ai vraiment hâte, s’exclame Isabelle Mercier.

Le Conseil culturel fransaskois s’engage à l’entourer de collaborateurs, pendant que Véronique Poulin agira à titre de mentore.

En vue de sa participation, Isabelle Mercier souhaite interpréter des chansons existantes, mais aussi créer de nouvelles chansons.

Elle espère aussi avoir la chance de participer au Festival international de la chanson de Granby.

Je fais de la musique humoristique, mais ce n’est pas un style à concours. C’est un style pour faire rire le public. J’aimerais me rendre à Granby, mais ce n’est pas moi qui décide, explique-t-elle.

La tournée Chant’Ouest a pour but de rassembler des artistes de la relève et de leur offrir une plateforme de rayonnement.

Isabelle Mercier sera en spectacle le 2 février avec Lévi Soulodre à la Société canadienne-française de Prince Albert. Elle participera également au Festival du Voyageur à Winnipeg en février, où elle fera notamment le lancement de la chanson Maurice Paquin.

D’après les informations de Raphaële Frigon

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 17 janvier 2024

Le salon virtuel PostÉduc Expo promet aux jeunes francophones et francophiles une immersion totale dans le monde de l’éducation postsecondaire en Français lors de sa deuxième édition prévue du 21 au 23 février 2024.

Le Salon national virtuel de trois jours permet aux jeunes élèves et étudiants canadiens français et acadiens d’être au fait sur diverses options postsecondaires en français et au sujet des opportunités d’emplois.

Promouvoir l’éducation postsecondaire en Français auprès des jeunes. C’est la raison d’être majeure du salon PostÉduc Expo, organisé par le Réseau des Cegeps et des collègues francophones du Canada (RCCFC). Un objectif qui prend tout son sens alors que le débat sur l’avenir des collèges et des universités francophones n’est pas prêt de s’estomper. Mieux encore, le salon regroupera aussi bien les établissements francophones du Québec que ceux des autres provinces et territoires.

Immersion totale

Tout au long des trois jours que durera PostÉduc Expo, les jeunes auront accès à 90 kiosques et 5 zones où se regroupent universités et collèges, conseils scolaires, organismes et employeurs issus de la francophonie du Québec et du Canada.

Au menu du salon : discussions avec les collèges et les universités, discussions avec les employeurs, balados diffusés en direct, visite d’un carrefour virtuel en 3D, spectacles et activités.

« PostÉduc Expo permettra d’explorer des opportunités académiques postsecondaires en français, rencontrer des employeurs spécifiquement à la recherche de talents bilingues et bénéficier d’ateliers dédiés pour affiner les compétences académiques et professionnelles », promet l’équipe du RCCF.

Basé à Ottawa, le RCCF est un regroupement de près de 60 établissements d’enseignement collégial francophones et d’organisations voués à l’éducation de partout au pays.

Notons, enfin, que l’inscription au salon PostÉduc Expo est gratuite sur le site web de l’événement.