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ONFR+ – Inès Rebei, publié le 12 octobre et mis à jour le 13 octobre 2023

SUDBURY – Plus d’un an après l’ouverture de la Place des Arts, ce sera au tour de celle de la librairie en novembre prochain. L’organisme a annoncé avoir recruté une directrice générale et prévoit de se doter d’un nom officiel.

Monica Meza Giron est la nouvelle directrice générale de la librairie-boutique de la Place des Arts. Crédit image : Monica Meza Giron

« Je suis honorée et fébrile à l’idée de commencer l’aventure avec les membres de la Librairie-boutique et la population du Grand Sudbury », déclare la nouvelle directrice, Monica Meza Giron. 

La recherche n’aura pas été de tout repos. L’organisme a tenté de recruter aussi loin qu’en France mais c’est finalement au Québec que la nouvelle directrice a été sélectionnée. Monica Meza Giron a étudié la photographie, le design graphique et a complété une maîtrise en communications à l’Université du Québec à Montréal.

« Engagée, intelligente, réfléchie, curieuse »… Stéphane Cormier, codirecteur général et directeur de la commercialisation aux Éditions Prise de Parole qui a chapeauté l’embauche, ne tarit pas d’éloge sur la nouvelle recrue.

Parmi ses expériences professionnelles, on compte des projets pour la Maison d’Haïti et de la médiation culturelle pour le Musée McCord. Bien qu’elle n’ait pas d’expertise directement reliée au milieu de la librairie, celle-ci a eu le droit à un stage d’un mois payé par l’organisme au Québec, assure Stéphane Cormier.

Il explique que l’intérêt marqué de la jeune femme pour la littérature francophone était un atout majeur pour l’embauche. « On avait envie d’une personne qui n’avait pas nécessairement des connaissances du métier mais qui avait cette envie-là de mener cette mission, et puis le reste ça s’apprend. » Elle pourra bénéficier d’un appui des membres du conseil d’administration, ajoute M. Cormier.

Elle a posé ses bagages dans le Grand Sudbury pour débuter son mandat avec pour objectif de faire de la Librairie-boutique un lieu de rassemblement.

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 12 octobre 2023

Crée en 1998, le Conseil scolaire francophone de Terre-Neuve-et-Labrador (CSFP) célèbre son 25e anniversaire

Des élèves de CSPF – Gracieuseté

La première école francophone de Terre-Neuve-et-Labrador a été fondée au village de la Grand’Terre en 1984 dans la cote-Ouest de l’Île.

Au terme d’une longue lutte, les francophones de la province ont dû patienter jusqu’à 1998 pour que leur province soit dotée d’un conseil scolaire francophone.

Aujourd’hui, la province la plus à l’Est du Canada compte six écoles francophones, fréquentées par des centaines d’élèves dans les quatre coins de son territoire.

« Depuis un quart de siècle, nous nous sommes dévoués à préserver et à promouvoir la langue française, en éduquant les générations futures. Au fil des ans, nous avons construit six écoles et une communauté éducative dynamique qui partage notre passion pour l’enseignement en français », se réjouit le CSFP dans un communiqué.

Des célébrations auront lieu dans les prochaines semaines et mois pour souligner cet anniversaire.

Par ailleurs, la Francophonie et l’Acadie de Terre-Neuve-et-Labrador fête le 50e anniversaire du lancement de son mouvement communautaire.

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 12 octobre 2023

Pour faire face à la pénurie d’enseignants au Nouveau-Brunswick, le District scolaire francophone Sud a commencé à déployer son programme de recrutement à l’international, en embauchant deux enseignantes du Maroc.

Pexels.com

Les communautés francophones et acadienne en milieu minoritaire manquent d’enseignants.

Face à cette pénurie, les conseils scolaires francophones cherchent constamment des solutions.

Sur le court terme, le recrutement d’enseignants expérimentés dans les pays de la francophonie s’avère une solution payante. C’est le cas du District scolaire francophone Sud (DSFS), le plus grand conseil scolaire francophone au Nouveau-Brunswick, comptant de 38 écoles et 17000 élèves.

« Après avoir participé à Destination Canada, à Paris et à Rabat, l’équipe de recrutement du DSFS a embauché deux enseignantes brevetées, Majdouline El Azzouzi et Nassima Titouah, les deux premières par le biais du Programme d’embauche et d’accueil de personnes enseignantes recrutées à l’international », indique le DSFS dans un communiqué publié le 4 octobre.

Pour faciliter leur intégration, les deux enseignantes ont bénéficié de sessions d’information avant leur arrivée ainsi qu’un appui personnalisé pour les accueillir en août 2023 à Fredericton, leur ville d’affectation.

Mieux encore, les deux nouvelles enseignantes seront épaulées et encadrées par des enseignants à la retraite afin de les familiariser aux spécificités du système scolaire du Nouveau-Brunswick.

« Nous sommes enchantés d’accueillir Mme El Azzouzi et Mme Titouah dans notre district. Leur arrivée marque une étape significative dans le Programme d’embauche et d’accueil de personnes enseignantes recrutées à l’international, en plus de témoigner de notre ferme engagement envers la diversité et l’inclusion. Ce programme est un exemple concret de la manière dont nous pouvons répondre à nos besoins en main-d’œuvre en embrassant la richesse de la diversité. », a déclaré Monique Boudreau, directrice générale du DSFS.

Du coté des enseignantes, les deux nouvelles recrues semblent satisfaites de l’accueil qui leur a été réservé, en croire leurs témoignages.

« Ma première rencontre avec les collègues était si respectueuse. Tout le personnel avait une certaine chose à partager avec moi et je ne me sentais pas différente ni seule ici, car ma nouvelle école est certainement unique. », témoigne Majdouline El Azzouzi.

« Malgré les défis initiaux, et grâce au superbe accueil de mes collègues, leur aide et leurs conseils, je peux vous dire que je me sens épanouie et fière de pouvoir contribuer à façonner les futurs citoyens francophones du Nouveau-Brunswick et de continuer à œuvrer dans ce domaine qui me passionne tant », fait savoir Nassima Titouah.

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ONFR+ – Rudy Chabannes, publié le 11 octobre et mis à jour le 12 octobre 2023

OTTAWA – L’autrice franco-ottavienne Nancy Vickers s’est adjugé le Prix du livre d’Ottawa en français dans la catégorie fiction pour son livre Capharnaüm, publié aux Éditions David. Les lauréats ont été dévoilés ce mercredi soir aux Théâtres Meridian de Centrepointe en présence du maire Mark Sutcliffe.

L’écrivaine Nancy Vickers. Source: Regroupement des éditeurs franco-canadiens.

« Je suis ravie d’avoir remporté ce prix et très fière de moi, car écrire ce livre a presque été un exploit », a-t-elle confié à l’annonce de son nom, faisant référence à son combat contre le cancer. « J’ai écrit Capharnaüm après de rudes traitements de chimiothérapie qui m’ont brûlé le cerveau et d’autres traitements de radiothérapie qui m’ont laissé plusieurs séquelles. Cela a donné le livre le plus capoté que je n’ai jamais écrit. »

C’est aussi avec ce même roman que Mme Vickers a été finaliste des Prix Trillium cette année. L’héroïne de son roman, Elsa, accumule toutes sortes d’objets qui finissent par encombrer sa maison à un point tel qu’elle en devient insalubre et voit ses relations familiales se dégrader, la conduisant à faire des rencontres inattendues.

Dans cette catégorie qui englobe le roman, la nouvelle, la poésie et la littérature jeunesse, l’autrice de nombreux romans et contes à la frontière du fantastique, du gothique et de l’érotisme, était en compétition avec la poétesse Andrée Lacelle pour Dire (Prise de parole), Gilles Lacombe pour Circé des hirondelles, Gilles Latour pour Feux du naufrage (L’Interligne) et Claudia Lahaie pour Les voies du slam (Éditions David).

Nancy Vickers, autrice de Capharnaüm et lauréate du Prix littéraire d’Ottawa, catégorie fiction. Source : Ville d’Ottawa

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 11 octobre 2023

Avant d’être élu le 3 octobre 2023 comme député provincial de Saint-Boniface sous la bannière du NPD, Robert Loiselle a travaillé 28 ans dans l’enseignement, tout en consacrant son temps libre au bénévolat et à l’engagement communautaire. Fier de ses racines autochtone et francophone, le nouveau député veillera à ce que les promesses du NPD à l’égard de la Francophonie Manitobaine soient concrétisées.  

Robert Loiselle vit à Saint-Boniface avec son épouse Katherine et ses filles Axelle et Nastassja – Gracieuseté

À l’Assemblée législative du Manitoba, la Francophonie Manitobaine pourra désormais compter sur Robert Loiselle pour faire avancer sa cause.

Bien qu’il ne soit pas le seul francophone à y siéger, le nouveau député aura la lourde tâche de représenter Saint-Boniface, le berceau historique des Franco-Manitobains.  

À lui seul, le territoire de cette circonscription compte une part importante des électeurs francophones de la province.

De plus, l’ancienne ville qui est devenue un quartier francophone de Winnipeg accueille la majorité des institutions francophones névralgiques de la province.

L’Université et l’Hôpital de Saint-Boniface, le Collège Louis-Riel, le journal La Liberté, la Société de la francophonie manitobaine et le Centre culturel Franco-Manitobain…Ce n’est là qu’une partie des organismes ayant leurs sièges dans la circonscription représentée par Robert Loiselle.

Un proche du nouveau premier ministre

« Je suis né et j’ai grandi à Saint-Boniface », lance d’entrée de jeu le nouveau député à Francité.

Issu d’une famille notoire dans les milieux francophones du Manitoba, Robert Loiselle a été bercé dans la francophonie dès son plus jeune âge.

Enseignant de profession, le Métis francophone a investi son temps libre pendant plusieurs décennies dans la société civile avant d’embarquer dans la politique.

Parmi les organismes dans lesquels il a joué un rôle important : le collectif Ami.e.s du carré civique de Saint-Boniface dans le domaine de la préservation du patrimoine, Francofonds dans la philanthropie et Save Our Seine dans l’environnement.

D’ailleurs, c’est dans les rues du centre-ville de Winnipeg et en faisant du bénévolat que Robert Loiselle rencontre pour la première fois le nouveau premier ministre Wab Kinew en 2010.

Robert Loiselle en compagnie du premier ministre Wab Kinew – Gracieuseté

« C’est l’idée de – Faire mieux – qui m’a motivé à me présenter pour représenter Saint-Boniface », explique le père de famille, qui se dit aussi très sensible aux crises sociales et environnementales qui touchent la province et le pays.

Outre sa longue expérience dans la société civile, et sa double identité autochtone et francophone qui lui permet de connaître les enjeux de ces minorités importantes au Manitoba, Robert Loiselle a autre atout.

À travers sa casquette d’enseignant, il a eu l’occasion de se rapprocher des nouveaux arrivants francophones puisque le tiers de ses élèves sont issus de l’immigration. Un rapprochement, qui lui a permis non seulement de connaitre les enjeux de l’immigration francophone, mais de séduire des électeurs et des alliés issus de la diversité.

Robert Loiselle avec son équipe lors d’une sortie de porte-à-porte – Gracieuseté

Maintenant qu’il est élu après avoir détrôné le député sortant Dougalt Lamont, qui n’est autre que le leader du parti libéral au Manitoba, Robert Loiselle entame un nouveau chapitre de sa vie.

Le nouveau député dit avoir hâte de commencer à travailler sur les chantiers promis aux francophones durant la campagne électorale.

« Pour s’assurer que la grande majorité de nos promesses soient concrétisées, nous allons investir à partir d’un fonds de la province doté de plus de 500 millions de $ que les conservateurs n’ont pas voulu toucher », précise l’élu sous les couleurs du NPD.

Interrogé sur ses ambitions politiques pour le futur, Robert Loiselle répond avec un brin d’humour qu’il est un proche de Wab Kinew. Les deux hommes ont établi un lien de confiance fort durant des années d’engagement communautaire, en plus de partager les mêmes idéaux politiques.

Est-ce que Robert Loiselle aura une place dans le nouveau gouvernement du Manitoba ? Probablement.

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RADIO-CANADA – Francis Plourde, publié le 11 octobre 2023

Près de 25 ans après l’arrêt Beaulac, qui avait confirmé le droit à un procès dans la langue officielle de son choix, la Cour suprême du Canada se penche de nouveau sur la question. 

La Cour suprême du Canada entendra la cause de Franck Yvan Tayo Tompouba mercredi à Ottawa.
PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / ADRIAN WYLD

Des audiences ont lieu mercredi afin d’entendre l’appel d’un homme reconnu coupable d’agression sexuelle et qui n’avait pas été avisé de son droit à un procès en français.

Les faits reprochés à Franck Yvan Tayo Tompouba remontent à décembre 2017. Âgé de 22 ans à l’époque, le résident de Colombie-Britannique s’était rendu à Kamloops pour rencontrer une jeune femme qu’il avait connue sur l’application Tinder.

Après une sortie en boîte de nuit, tous deux sont allés chez la plaignante, se sont embrassés et étreints avant d’aller se coucher.

Au milieu de la nuit, la plaignante s’est réveillée et s’est rendu compte qu’ils avaient une relation sexuelle à laquelle elle n’avait pas consenti. Dans les jours qui ont suivi, elle a déposé une plainte pour agression sexuelle.

Après un procès en anglais, l’homme a été reconnu coupable en 2019, obtenant une peine de 90 jours de prison.

Comme Franck Tayo Tompouba – qui a deux enfants au Canada et aide sa famille au Cameroun – était résident permanent, une peine de plus de six mois aurait pu mener à son expulsion du Canada.

Selon moi, toute peine plus longue aurait eu un impact injuste sur les enfants de M. Tayo Tompouba et sa famille au Cameroun, écrivait le juge Leonard Marchand dans sa décision.

Ignorant de son droit à des procédures en français

Selon ses avocats, Franck Yvan Tayo Tompouba n’aurait pas été avisé assez tôt de son droit à des procédures en français. C’est cette question qui sera au coeur des audiences en Cour suprême du Canada, mercredi.

Selon l’article 530 du Code criminel portant sur la langue utilisée durant un procès, un accusé dont la langue est une des langues officielles du Canada peut présenter une demande pour subir son procès dans la langue qu’il préfère.

Or, lors de sa première comparution, l’accusé n’avait pas été informé de ce droit. En appel, le tribunal a rejeté l’argument selon lequel les droits de M. Tayo Tompouba avaient été bafoués.

La Cour suprême du Canada a toutefois accepté, en janvier dernier, d’entendre la contestation, qui pourrait mener à un nouveau procès.

Des questions de droit importantes

Pour le professeur de droit Benoît Pelletier, le dossier soulève plusieurs questions juridiques importantes, près de 25 ans après l’arrêt Beaulac, considéré comme un tournant dans l’accès à la justice en français au pays.

Je pense que la cause est toute désignée pour réexaminer l’arrêt Beaulac, expliquait-il en entrevue, en janvier dernier.

En 1999, Jean Victor Beaulac, un francophone de Colombie-Britannique, avait eu droit à un nouveau procès après avoir été déclaré coupable de meurtre prémédité lors d’un procès qui s’était déroulé en anglais.

La Cour suprême avait statué que, même s’il parlait anglais, son droit à un procès dans la langue de son choix avait été bafoué.

Le plus haut tribunal au pays pourrait aussi statuer sur d’autres questions dans l’affaire Tayo Tompouba, croit le professeur à l’Université d’Ottawa.

Ce qui est en cause ici, c’est le droit d’être informé de la possibilité qu’on a d’avoir le droit d’avoir un procès dans la langue de son choix, et quelles sont les conséquences lorsqu’on n’en est pas informé en temps opportun, expliquait Benoît Pelletier en janvier dernier.

La décision de la Cour suprême pourra avoir un impact important sur l’accès à la justice dans les deux langues officielles, affirmait de son côté l’avocat de M. Tayo Tompouba, Jonathan Laxer, l’hiver dernier.

L’audience doit durer une journée. La Cour suprême du Canada rendra sa décision à une date ultérieure.

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RADIO-CANADA – Publié le 10 octobre 2023

Les avocats Stephen J. Doucet et Maya Hamou sont nommés juges à la Cour du Banc du Roi au Nouveau-Brunswick.

Les avocats Stephen J. Doucet et Maya Hamou sont nommés juges à la Cour du Banc du Roi au Nouveau-Brunswick.
PHOTO : GETTY IMAGES / GWENGOAT

Le ministre de la Justice et procureur général du Canada, Arif Virani, a annoncé ces nominations mardi. Elles surviennent dans un contexte de pénurie de juge. La juge en chef de la Cour du Banc du Roi du Nouveau-Brunswick alertait récemment sur la gravité de la situation dans la province.

Trois postes à temps plein étaient à pourvoir dont un depuis deux ans. Une situation qui entraîne des délais dans le traitement des dossiers, selon elle. Il ne reste donc plus qu’un seul poste à combler.

Stephen J. Doucet, avocat à Bouctouche, devient juge à Miramichi, et Maya Hamou, agente d’audience au ministère de la Justice et de la Sécurité publique, devient juge à Moncton. Ils sont tous deux diplômés de l’Université de Moncton, entre autres.

Le juge Doucet compte 29 ans d’expérience en tant qu’avocat, notamment dans les domaines du droit de la famille, du droit des successions et du droit immobilier. Il a été président de la Commission de recours de la santé mentale au Nouveau-Brunswick et membre de la Commission d’appel en matière d’évaluation et d’urbanisme du Nouveau-Brunswick.

La juge Maya Hamou compte près d’une dizaine d’années d’expérience au Bureau du procureur général du Nouveau-Brunswick. Devenue agente d’audience au ministère de la Justice et de la Sécurité publique en 2019, elle a notamment tenu des audiences d’urgence en vertu de la Loi sur l’intervention en matière de violence entre partenaires intimes et à titre d’adjudicatrice de la Cour des petites créances.

Les deux nouveaux juges ont aussi été membres ou dirigeants de divers comités du Barreau du Nouveau-Brunswick et du Barreau canadien.

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ONFR+ – Inès Rebei, publié le 5 octobre et mis à jour le 6 octobre 2023

OTTAWA – Dans le but d’encourager le gouvernement Ford, le fédéral veut sortir la carotte au lieu du bâton concernant l’Université de Sudbury. Le ministre des Langues officielles Randy Boissonnault se dit prêt à mettre des millions de dollars sur la table dans le dossier de l’établissement du Nord de l’Ontario en guise d’invitation à son homologue ontarien à venir négocier.

L’Université par et pour les francophones est attendue depuis deux ans. Crédit image : Inès Rebei

À la fin juin, Queen’s Park a annoncé qu’il n’irait pas de l’avant avec le projet de l’Université de Sudbury, citant que la programmation offerte par l’établissement « ne correspond pas à la demande actuelle et aux tendances relatives aux inscriptions » au niveau du postsecondaire en Ontario français.

À la suite de la décision, Ottawa demandait à la ministre des Affaires francophones Caroline Mulroney et sa collègue aux Collèges et Universités Jill Dunlop d’entamer un dialogue. Aujourd’hui, le fédéral va plus loin pour convaincre le gouvernement Ford en sortant le chèque.

« On a pas seulement la volonté, mais nous avons de l’argent sur la table pour la province de l’Ontario, s’ils veulent », envoie comme message le ministre des Langues officielles au fédéral, Randy Boissonnault.

Il entend jeter les bases prochainement avec les deux ministres du gouvernement Ford.

La ministre des Affaires francophones Caroline Mulroney a refusé notre demandes d’entrevue. Quant au bureau de Mme Dunlop, ministre des Collèges et Universités, il n’a pas voulu répondre à savoir si cette nouvelle information pourrait être un facteur déterminant dans le dossier. L’attachée de presse de la ministre, Liz Tuomi, déclare ne pas avoir eu de demande officielle de la part du fédéral et que celui-ci « n’a fourni aucun détail concernant le financement fédéral de l’Université de Sudbury ».

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 10 octobre 2023

Formé par des artistes québécois et acadiens, le groupe Salebarbes s’est vu décerné le Prix Acadie-Québec 2023, le vendredi 6 octobre 2023 à la fin d’un concert du groupe à l’Assomption dans la région de Lanaudière.

« Acadie ou Québec, c’est la même aventure française dans les Amériques et la même volonté d’affirmer la fierté de la langue française, en plus du goût de fêter en français ».

C’est en ces termes élogieux, que le ministre de la Langue française Jean-François Roberge a commenté la remise du prix Acadie-Québec au groupe Salebarbes à la fin d’un concert organisé dans la soirée du vendredi à l’Assomption dans la région de Lanaudière.

Pour rappel, Salebarbes a impressionné, dès la sortie de son premier album en 2019, le public francophone au Québec, en Acadie et un peu partout au Canada.

La valorisation de la langue française et de la culture francophone est au cœur de l’œuvre du groupe qui a sorti récemment son troisième album « À boire deboutte ». Sur son site officiel, Salebarbes ne s’en cache pas.

« Le groupe s’est harnaché l’énergie brute et festive du répertoire cadien, avec une dose d’humour teintée d’espoir. L’espoir de redonner un peu de fierté et le goût de fêter en français. Une sorte de réappropriation culturelle. Une déportation à l’envers. », peut-on lire dans la présentation du projet musical mené par Éloi et Jonathan Painchaud, Kevin McIntyre, George Belliveau et Jean-François Breau.

La chanson Good lord a franchi la barre de 2 millions de vues sur Youtube

« Le choix du lauréat est tout à fait naturel. Le groupe Salebarbes représente, selon nous, l’ultime personnification de l’Acadie, du Québec, de l’Acadie au Québec et du Québec en Acadie. », a déclaré pour sa part Martin Théberge, président de la Société Nationale de l’Acadie (SNA).

Créé en 2006 par la Commission permanente de concertation Acadie-Québec, le prix Acadie-Québec reconnaît l’apport remarquable de personnes et d’organismes de l’Acadie et du Québec à l’établissement et à la consolidation des relations entre les deux peuples.

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ONFR+ – Inès Rebei, publié le 30 septembre et mis à jour le 4 octobre 2023

[LA RENCONTRE D’ONFR]


NIPISSING OUEST – Daniel Stevens est un ex-enseignant passionné qui a à cœur le bien-être et le développement personnel de ses élèves. Anishnabe, francophone et anglophone, il est depuis plus d’un an, le directeur d’éducation de l’école secondaire de la Première Nation de Nipissing, laquelle met la culture autochtone au cœur de ses enseignements.

Daniel Stevens est le directeur d’éducation de l’école de la Première Nation de Nipissing depuis 2022. Gracieuseté

«Comment définiriez-vous vos racines?

J’ai grandi à Sturgeon Falls, j’ai toujours vécu dans la région jusqu’à ce que j’aie l’âge d’aller à l’université, quand je suis parti à London. Mon père est citoyen de Nipissing First Nation et ma mère est francophone de Sturgeon Falls. Mon père travaillait pour les chemins de fer, ma maman travaillait à North Bay comme hygiéniste dentaire. Comme le travail de mon père le forçait à partir hors de la ville souvent, j’ai grandi dans un environnement principalement francophone. J’ai fait l’école francophone catholique jusqu’à la 8e année et au secondaire, j’ai fait l’école anglaise de Northern.

Parlez-vous la langue ojibwée?

Non, mais je l’apprends. Dans la réserve, je communique principalement en anglais avec les membres de la communauté. C’est vraiment un rêve que nous avons, d’avoir la langue autochtone comme première langue. On est très chanceux d’avoir de plus en plus de familles qui apprennent le langage traditionnel à leurs enfants. Dans notre Constitution, on a avoué que notre langage est la première langue même si on ne s’en sert pas tout le temps.

On a seulement 10 aînés, sur 6 000 membres dans notre Première Nation, qui ont le langage comme langue maternelle. Alors, aujourd’hui, on fait beaucoup d’efforts pour revitaliser et propager notre langue. Même sur nos autobus on peut voir des affichages en langage traditionnel. Plus tu le vois dans la langue dans la vie quotidienne, plus tu vas l’utiliser.

Daniel Stevens, à gauche, a été un des conseillers du Conseil de la Première Nation de Nipissing de 2021 à 2022 jusqu’à sa nomination à la direction de l’éducation de l’école de la nation. Crédit image : Première Nation de Nipissing.

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 6 octobre 2023

Incontournable pour les éditeurs et les lecteurs acadiens, le Salon du livre de la péninsule acadienne revient pour une 20e édition du 5 au 8 octobre à Shippagan au Centre Rhéal Cormier.

La romancière québécoise Gabrielle Filteau-Chiba au Salon – Gracieuseté

« 20 ans… ça fait secousse ». Tel est le thème de la 20 édition du Salon du livre de la péninsule acadienne qui s’est ouvert hier à Shippagan au Nouveau-Brunswick.

Selon le conseil d’administration du Salon, présidé par Lisette Cormier Noël, cet évènement littéraire réitère l’importance de promouvoir la lecture et la littératie comme outil de développement individuel et collectif.


Une armada composée de plus d’une vingtaine d’autrices et d’auteurs de l’Acadie, du Québec et de la francophonie canadienne seront à l’honneur de cette 20 édition avec une programmation variée.

Affiche du Salon

Comme il est crucial pour la communauté acadienne de la péninsule de transmettre la passion pour les lettres et la langue française aux jeunes générations, le Salon aura un grand volet jeunesse autour duquel les auteurs rencontreront des élèves et enseignants francophones de la région.


De plus, une multitude d’activités se dérouleront dans plusieurs lieux de la Péninsule acadienne et plusieurs conférences auront lieu à l’Université de Moncton, campus de Shippagan. Entre autres, la communauté est invitée à participer à une rencontre d’inspiration Louise Portal à La P’tite Église de Shippagan ou encore d’une grande entrevue avec la comédienne Marina Orsini.

Les participants pourront aussi prendre part à des ateliers d’écriture, des réflexions sur le sens donné à sa vie ou encore en connaître plus sur le FBI avec Marc Ruskin, agent spécial du FBI à la retraite.

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RADIO-CANADA – Publié le 5 octobre 2023

Le village de Saint-Isidore, au Nouveau-Brunswick, voit sa population rebondir grâce aux familles de travailleurs issues de l’immigration.

Redouane Jabli et Mohamed Amine Moubarik se sont installés dans le village de Saint-Isidore.
PHOTO : RADIO-CANADA / MARIO MERCIER

Cette petite communauté, qui comptait près de 800 personnes avant la réforme municipale, a accueilli 38 nouveaux arrivants.

Ils arrivent tous de l’Afrique francophone, mais la plupart viennent du Maroc, de l’Algérie, du Mali, du Togo, du Cameroun, du Congo et une famille de l’Ukraine, indique Myriam Léger, agente de développement économique à la municipalité des Hautes-Terres.

Saint-Isidore, l’endroit idéal

Redouane Jabli est arrivé du Maroc avec sa famille, il y a plus d’un an. Il dit y avoir trouvé l’endroit idéal pour vivre.

Redouane Jabli, immigrant marocain dans le village de Saint-Isidore.
PHOTO : RADIO-CANADA / MARIO MERCIER

J’ai choisi Saint-Isidore parce que c’est un petit village. Il y a le calme et la sécurité pour mes enfants, contrairement aux grandes villes comme Montréal, soutient-il.

Cet ancien employé d’Oxford Frozen Food dit être intégré dans la communauté.,C’est une interaction qui n’existait pas il y a deux ans. Aujourd’hui c’est normal et c’est plaisant de les accueillir dans notre région, affirme Denis Landry, maire de la municipalité des Hautes-Terres.

La municipalité leur fournit une assistance pour remplir les formalités administratives et se déplacer.

Les employeurs s’efforcent aussi de leur offrir un hébergement.

Quinze mini maisons ont été construites à cet effet, par la compagnie Oxford Frozen Food en appui avec la municipalité des Hautes-Terres. Un deuxième lotissement de cinq mini maisons est en cours de construction.

Toutes ces maisons sont en plein centre-ville ou à proximité pour faciliter l’accès aux services et aux entreprises qui les emploient.

Des défis demeurent

Ces nouveaux arrivants viennent pour la plupart de pays francophones, mais cela semble insuffisant pour faciliter la communication dans un village pourtant francophone.

Les gens s’expriment en mélangeant le français et l‘anglais, déplore Mohamed Amine Moubarik, arrivé à St-Isidore, il y a trois mois.

Face à l’incertitude, Mohamed Amine Moubarik a préféré venir tout seul à Saint-Isidore et préparer l’arrivée de sa famille. PHOTO : RADIO-CANADA / MARIO MERCIER

Il trouve que le coût des aliments est plus élevé qu’au Maroc. Il se prépare aussi à vivre les températures froides du Canada.

Tout le monde me parle de l’hiver. On a aussi de la neige chez nous, mais on n’arrive pas à -40, lance-t-il.

S’ils sont à des milliers de kilomètres de leurs origines, ces immigrants devraient au moins pouvoir retrouver les mêmes aliments dans leurs assiettes. Une épicerie internationale a ouvert ses portes à Saint-Isidore pour leur fournir des produits de leurs pays respectifs.

Avec les informations de la Matinale et de Mario Mercier

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FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 5 octobre 2023

À la suite d’une campagne virtuelle qui dénonce la culture du viol dans son campus, l’Université Sainte-Anne prend le taureau par les cornes, en adoptant une nouvelle politique plus musclée en matière de prévention et de lutte contre les violences sexuelles.

La seule institution postsecondaire francophone de la Nouvelle-Écosse a annoncé hier la révision de sa politique de prévention et de lutte contre les violences sexuelles.


« Notre engagement commun pour le maintien de campus sécuritaires et respectueux est la meilleure garantie afin que tout notre monde puisse étudier, travailler et s’épanouir en toute liberté, sans menace et sans contrainte », a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université, Allister Surette.


« Nous avons en place une nouvelle politique contre la violence sexuelle, avec des processus de traitement précis et adaptés, ce qui contribue à affirmer la tolérance zéro à l’endroit de comportements dégradants ou irrespectueux. » a-t-il poursuivi dans un communiqué publié le mercredi 4 octobre.


Adoptée le 23 septembre 2023, la nouvelle politique est le produit d’une série de discussions « franches et importantes » qui ont réuni toutes les parties prenantes de l’établissement postsecondaire.


D’après l’Université, cette nouvelle politique répond aux recommandations de la communauté, telles que la prise en charge d’une plainte par une équipe d’enquête externe et des échéanciers de traitement précis.

Cerise sur le gâteau : le nouveau site Internet de l’Université, dont le lancement est prévu cet automne, comptera une page sur les violences sexuelles.


Institution clé de l’Acadie de la Nouvelle-Écosse, l’Université Sainte-Anne offre des programmes d’études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d’immersion et de formation sur mesure en français langue seconde.

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RADIO-CANADA – Publié le 4 septembre 2023

L’organisme qui représente les aînés francophones de la Saskatchewan, Vitalité 55+, célèbre son 40e anniversaire avec une série d’événements, un concours et des festivités.

Selon Vitalité 55+, la population des aînés francophones représente plus de 52 % de la communauté fransaskoise. (Photo d’archives)
PHOTO : RADIO-CANADA / TREVOR A BOTHOREL

La journée nationale des aînés et la Semaine des aînés en Saskatchewan sont des événements annuels pour célébrer le rôle important que jouent, chaque jour, les aînés dans nos communautés, affirme l’organisme dans un communiqué.

Le directeur de Vitalité 55+, Éric Lefol, souligne que la population des aînés francophones représente plus de 52 % de la communauté fransaskoise.

Pendant les rendez-vous fransaskois, le 3 novembre, on va vous présenter une petite vidéo qu’on a faite sur nos 40 ans. Vous pouvez y reconnaître plein de personnes qui se sont impliquées dans les différents groupes d’aînés dans la province depuis les 40 dernières années, confie M. Lefol lors d’une entrevue accordée à l’émission Pour faire un monde.

Ça sera très intéressant de revoir tous ces visages, de revoir tous ces gens-là qui ont eu tellement d’énergie pour présenter toutes ces activités, ajoute-t-il.

Lors des rendez-vous fransaskois, l’organisme décernera également le prix du Lys d’Argent à Marie-Jeanne Will.

Originaire de Zenon Park, Mme Will a enseigné à Saskatoon dans la première école d’immersion francophone de la ville, l’École St. Paul, puis elle a enseigné à Regina et à Moose Jaw, indique le site web de l’organisme.

Le 1er octobre, l’association a lancé un concours permettant de remporter un séjour de deux nuits pour deux personnes au Spa de Moose Jaw.

Une question sera posée chaque mois, pendant 9 mois, dans nos infolettres, sur notre page Facebook et sur notre site internet. Pour chaque question répondue correctement, les participants obtiendront une entrée au concours. Ceux qui répondent à plusieurs questions et auront davantage de chances de gagner, écrit Vitalité 55+ sur son site web.

La scène pour les aînés

Entre le 28 novembre et 10 décembre, une pièce de théâtre intitulée C’est à nous d’y voir, en collaboration avec la Troupe du jour, sera présentée au grand public à Saskatoon.

M. Lefol précise qu’un enregistrement de la pièce sera présenté à travers la province de février à mai de l’année prochaine, en collaboration du Conseil culturel fransaskois (CCF).

L’organisme en profitera ainsi pour rencontrer les aînés des différentes communautés en province, note-t-il.

C’est une pièce écrite par Madeleine Blais-Dahlem. […] En ce moment, la Troupe du jour a commencé à faire des recrutements pour des artistes. […] On a proposé cette vidéo à toutes les communautés francophones dans la province, affirme Éric Lefol.

Selon le site web de l’organisme, la pièce en question sera dédiée à la fondatrice de la Fédération des aînés, aujourd’hui connue sous le nom Vitalité 55+, Jeanne Leblanc.

Avec les informations de Doris Labrie

Prenez note que cet article ne fait plus l’objet de mise à jour et pourrait contenir des informations désuètes.

FRANCITÉ – Mehdi Jaouhari, publié le 4 octobre 2023

Une tournée de spectacle-causerie se tiendra dans cinq régions de la Saskatchewan, du 18 au 27 octobre 2023, pour sensibiliser la communauté Fransaskoise à l’intimidation.

Pexels

L’intimidation est très souvent un désastre pour les victimes. Ses effets néfastes sur la santé peuvent être plus prononcés dans le contexte de milieux minoritaires où presque tout le monde connait tout le monde.

C’est pour cette raison qu’un collectif d’organismes fransaskois organise une activité itinérante du 18 au 27 octobre pour contre le fléau de l’intimidation en milieu scolaire et communautaire.

Le spectacle-causerie aura lieu dans les régions de Moose Jaw, Regina, Gravelbourg, Prince Albert et Saskatoon. Selon le collectif regroupé autour du Partenariat provincial interculturel, l’événement représente une opportunité pour découvrir les différents aspects de l’intimidation sous forme de monologue théâtral.

L’objectif est d’explorer des pistes de solutions possibles pour jouer un rôle actif et avoir un impact positif face à une situation d’intimidation.

Le spectacle-causerie sera aussi présentée au sein des établissements scolaires du Conseil des écoles fransaskoises pour sensibiliser les élèves dans plusieurs localités de la province.

Il sera animé par Alain Pelletier, conférencier spécialisé sur les thématiques de l’intimidation et de la violence qui a à son actif plusieurs années d’expériences.

« Ces conférences destinées à nos écoles et à nos communautés, s’inscrivent dans les actions du Plan de développement global ( PDG) dans la lutte contre l’intimidation et la violence. Ces spectacles-causeries nous sensibilisent, nous touchent et nous permettent de bien réfléchir afin de créer une communauté bienveillante, inclusive, saine et sécuritaire », a déclaré le coordonnateur du projet Mieux-vivre ensemble, Napoléon Hatungimana.

Notons, enfin, que le Partenariat provincial interculturel est composé de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS), du Conseil culturel fransaskois (CCF) et du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).